Un dispositif financier perverti

Passons de la finance marchandise à une finance Augmentée internationale et une monnaie de change commune numérique.

De la fonction échange, l’argent est devenu une marchandise qui se stocke. Dans la modernité, il a la faculté de se reproduire sans que son propriétaire apporte de la valeur ajoutée à la collectivité : c’est le principe de rente fondé sur la spéculation dont le rythme s’accélère grâce au numérique transfrontière. Le monde est devenu un vaste casino permettant de créer légalement de la fausse monnaie, c’est-à-dire non équilibrée par la constitution d’un actif. Il y a ceux qui sont de plus en plus riches et les autres qui ne sont pas dans la martingale dont l’effet pervers est l’augmentation du coût de la vie, la difficulté à se loger, l’habitat étant devenu un placement spéculatif … ou de pression entre Etats.

Il convient donc de proposer une monnaie, le e.Ecu, étalonné sur le p.i.b. moyen international, à vocation éthique réinitialisée et un régime d’investissement sur la reconnaissance de la Valeur Ajoutée Augmentée ( V.A.A.) .

Le e.Ecu est une monnaie numérique qui, contrairement aux billets de banque support physique d’une valeur, peut-être tracée en permanence. Le billet de banque comporte un chiffre d’identification passif ; il est difficile à tracer. La monnaie numérique à la souplesse du chèque ; elle se décline en divers usages dont comme actif de haut de bilan d’un Etat. Ce n’est pas une fausse monnaie de type « monopoly » tel le bitcoin …